On lit dans sa vie quantité de livres,

Mais on n’en retient souvent que quelques lignes qui peuvent, cependant, revenir en mémoire aux moments opportuns de peine ou de joie.

Voici les « citations » que j’apprécie :

L’homme est pleine d’imperfections. Ça n’est pas étonnant si l’on songe à l’époque à laquelle il a été créé (Alphonse Allais).

L’avenir de l’homme, c’est la femme (Aragon).

Le comble de la bonté d’âme : refuser qu’on frappe les carafes ou qu’on pende la crémaillère (Alphonse Allais).

Les vieux se répètent, les jeunes n’ont rien à dire, l’ennui est réciproque (Jacques Bainville).

Ceux qui ne font rien ne se trompent jamais (Théodore de Banville).

Le bonheur, c’est une bonne santé et une mauvaise mémoire (Ingrid Bergman).

Il faut agir en homme de pensée, et penser en homme d’action (Henri Bergson).

C’est Dieu qui a créé le monde, mais c’est le Diable qui le fait vivre (Tristan Bernard).

Il vaut mieux être plusieurs sur une bonne affaire que seul sur une mauvaise (Tristan Bernard).

N’achetez plus de tissus écossais, écossez-les vous même. (Francis Blanche).

On ne peut être et avoir été… Mais si ! On peut avoir été un imbécile et l’être toujours (Léon Bloy).

Qui ne dit rient consent (Boniface VIII, pape).

Les Devoirs d’un franc-maçon : Apprendre en Apprenti, Comprendre en Compagnon, Partager en Maître (G.C.).

Pépin le Bref est mort depuis plus de mille ans ; moralité, quand on est mort c’est pour longtemps (Eugène Chavette).

Le meilleur moment de l’amour, c’est quand on monte l’escalier (Georges Clémenceau).

Les miroirs feraient bien de réfléchir un peu avant de renvoyer les images (Jean Cocteau).

Ce ne sont pas les années qui font la vieillesse, mais bien l’idée qu’on devient vieux (Émile Coué).

Pour jouir de la richesse, il faut avoir mangé de la vache enragée ; pour jouir de la santé, il faut avoir été malade (Émile Coué).

Tous les jours, à tous points de vue, je vais de mieux en mieux (Émile Coué).

S’il fallait tolérer aux autres ce qu’on se permet à soi-même, la vie ne serait plus tenable (Georges Courteline).

Le moins que l’on puisse demander à une sculpture c’est qu’elle ne bouge pas (Salvador Dali).

Toute expérience douloureuse apporte un fruit qu’il faut savoir cueillir (Françoise Dolto).

La femme est, selon la Bible, la dernière chose que Dieu a faite. Il a dû la faire le samedi soir ; on sent la fatigue (Alexandre Dumas).

Le devoir est ce que l’on exige des autres (Alexandre Dumas).

Ma femme ?… Je ne saurais mieux la comparer qu’à une invention française. C’est moi qui l’ai trouvée, et ce sont les autres qui en profitent (Henri Duvernois).

Si jeunesse savait, si vieillesse pouvait (Henri Estienne).

On n’est jamais si bien servi que par soi-même (Charles-Guillaume Étienne).

Imbéciles sont ceux qui ne pensent pas comme nous (Gustave Flaubert).

Nous sommes (nous Français) avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne (Charles de Gaulle).

Le sage est celui qui s’étonne de tout (André Gide).

Savoir ce que tout le monde sait, c’est ne rien savoir (Rémy de Goncourt).

Le bonheur à deux… dure le temps de compter jusqu’à trois (Sacha Guitry).

Les femmes sont faites pour être mariées et les hommes célibataires. De là vient tout le mal… (Sacha Guitry).

Les honnêtes femmes sont inconsolables des fautes qu’elles n’ont pas commises (Sacha Guitry).

Ami est quelquefois un mot vide de sens, ennemi, jamais (Victor Hugo).

Vouloir être de son temps, c’est déjà être dépassé (Eugène Ionesco).

Il faut rire avant que d’être heureux, de peur de mourir sans avoir ri (Jean de La Bruyère).

Un idiot pauvre est un idiot, un idiot riche est un riche (Paul Laffitte).

Je m’amuse à vieillir, c’est une occupation de tous les instant (Paul Léautaud).

Pourquoi faire part de nos opinions ? Demain, nous en aurons changé (Paul Léautaud).

Point n’est besoin d’espérer pour entreprendre ni de réussir pour persévérer (Charles le Téméraire).

Le principal devoir de l’homme, envers lui-même, est de s’instruire. Le principal devoir de l’homme, envers les autres, est de les instruire (Émile Littré).

La vieillesse est le privilège de ceux qui ne sont pas mort jeunes (Jean Marais).

On reste jeune quand on prend la peine de s’occuper des autres (Jean Marais).

La dernière marche d’un escalier qu’on gravit est toujours plus haute que les autres (Paul Masson).

C’est mon opinion et je la partage (Henri Monnier).

Les villes devraient être bâties à la campagne ; l’air y est tellement plus pur (Henri Monnier).

On se repent souvent de parler, jamais de se taire (Plutarque).

Un mari quelque peu volage, Le lendemain de son mariage, Tua sa femme à son réveil. Moralité : la nuit porte conseil (Alexandre Pothey).

Quand mon verre est vide, je le plains. Quand mon verre est plein, je le vide (Paul Pouchon).

L’appétit vient en mangeant, la soif s’en va en buvant (Rabelais).

Quand on n’a pas ce que l’on aime, il faut aimer ce que l’on a (Roger de Rabutin).

On place ses éloges comme on place de l’argent, pour qu’ils nous soient rendus avec les intérêts (Jules Renard).

Je me flatte d’avoir toujours le dernier mot dans mon ménage… Et ce mot c’est « Oui »… (Jules Renard)..

Si vous battez une femme avec une fleur, prenez plutôt une rose. Sa tige a des épines (Henri de Régnier).

Le mariage simplifie la vie, mais complique la journée (Edmond Rostand).

On tue un homme, on est un assassin. On tue des hommes on est un conquérant. On les tue tous on est un Dieu (Edmond Rostand).

L’homme n’est point fait pour méditer, mais pour agir (Jean-Jacques Rousseau).

Les oisifs n’ont jamais une minute à eux (Maurice Sachs).

Vieillir est encore la meilleure façon que nous ayons trouvée pour vivre longtemps (Saint-Beuve).

Le mariage est un dîner qui commence par le dessert (Jules Sandeau).

On s’enlace, Puis un jour On s’en lasse. C’est l’amour (Victorien Sardou).

Cesser d’apprendre, c’est commencer à vieillir (Socrate).

La parole a été donnée à l’homme pour déguiser sa pensée (Talleyrand).

Une bonne éducation consiste à concilier le grand bien que vous pensez de vous-même avec le peu de bien que vous pensez des autres (Mark Twain).

Pour exécuter de grandes choses, il faut vivre comme si on ne devait jamais mourir (Vauvenargues).

Je suis riche des biens dont je sais me passer (Louis Vigée).

Même les personnes stupides paraissent intelligentes quand elles se taisent (Robin Williams).

Si ce que tu as à dire n’est pas plus beau que le silence, alors tais-toi (proverbe chinois).

On apprend peu par la victoire, mais beaucoup par la défaite (proverbe japonais).

La Terre ne rend jamais sans intérêt ce qu’elle a reçu (XXX).

Ce qui est bon marché est rare, Or ce qui est rare est cher, Donc ce qui est bon marché est cher (XXX).

Ce sont les jeunes imbéciles qui font les vieux cons (XXX).

Entreprendre, c’est aller au-delà de ce que l’on croyait être capable de faire (XXX).

Guillotinons tous les cons, il n’y aura plus de socialistes (XXX).

La mémoire, c’est comme les amis : elle vous laisse tomber au moment où on en a le plus besoin (XXX).

La mémoire, moins on s’en sert et plus elle s’use (XXX).

La position assise est la meilleure position pour regarder les autres travailler (XXX).

L’Enfer est un endroit où le cuisinier serait Anglais, le policier Allemand, le garagiste Arabe et l’amant Suisse (XXX).

Les idées, c’est un peu comme les enfants : les vôtres sont toujours formidables (XXX).

Le respect, c’est comme le sourire, ça ne coûte rien et tout le monde aime ça (XXX).

L’Univers est sans limite ! Mais que trouve-t-on au delà ?… (XXX).

On appelle cultivé un esprit dans lequel on a semé l’esprit des autres (XXX).

Pendons tous les riches, ainsi il n’y aura plus que des pauvres (XXX).